Muséographier les « musiques électro-amplifiées »

Pour une socio-histoire du sonore
Par Marc Touché
Français

Le Musée national des arts et traditions populaires de Paris devenu le MuCEM prochainement à Marseille et le Musée des musiques populaires de Montluçon ont récemment constitué des collections à partir des travaux de recherche sociologique de terrains inscrits dans la durée. Ces collections traitent des cultures matérielles et immatérielles concernant l’émergence des musiques électroamplifiées dans les modes de vie en France. La question du sonore paroxystique (auditif et vibratoire), de la culture du potentiomètre, du décibélisme et du vibrationnisme sont des dimensions anthropologiques nouvelles en matière de muséologie. Travailler avec des musée permet d’envisager des formes originales de retour du travail de la recherche vers les publics.

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